Il y a toujours des surprises qui surgissent de n'importe où n'importe quand. James Apollo en est une.
Lieu : à une table quelconque d'un bar quelconque dans une ville quelconque sirotant un cocktail quelconque, date : vers 1h30/2h, après avoir lamentablement échoué dans ma pathétique tâche de dragounette essai numéro sept - dernière prise sur la serveuse parishiltonienne de la soirée.
« Écoute-moi ça, tu devrais pas t'en remettre » me lance une des filles avec qui je suis venu. Et elle avait raison, je m'en suis pas remis. Les cordes vocales obstruées par Finn Andrews et Andrew Bird (Alamo, Call Off The Violins) et la guitare accordée par Conor Oberst et Willy Mason (Dead Men Weigh More, Three Birds), c'est une musique folk habitée d'intenses moments rock mi-psyché mi-blues (Bad Old Buzzard, Beauty Bird, I've Got It Easy) qui prend aux tripes.
Du coup, avec des références pareilles, je suis tombé sous le charme de cette personne pendant toute une nuit.
Lieu : à une table quelconque d'un bar quelconque dans une ville quelconque sirotant un cocktail quelconque, date : vers 1h30/2h, après avoir lamentablement échoué dans ma pathétique tâche de dragounette essai numéro sept - dernière prise sur la serveuse parishiltonienne de la soirée.
« Écoute-moi ça, tu devrais pas t'en remettre » me lance une des filles avec qui je suis venu. Et elle avait raison, je m'en suis pas remis. Les cordes vocales obstruées par Finn Andrews et Andrew Bird (Alamo, Call Off The Violins) et la guitare accordée par Conor Oberst et Willy Mason (Dead Men Weigh More, Three Birds), c'est une musique folk habitée d'intenses moments rock mi-psyché mi-blues (Bad Old Buzzard, Beauty Bird, I've Got It Easy) qui prend aux tripes.
Du coup, avec des références pareilles, je suis tombé sous le charme de cette personne pendant toute une nuit.
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